Dans son plaidoyer, l’ARSLA a indiqué vouloir faire de la maladie de Charcot une grande cause nationale. L’une de ses 12 propositions vise à demander une adaptation de la loi Claeys-Léonetti, qui laisse place à un vide interprétatif majeur quant à la signification de l’expression « pronostic vital engagé» pour « l’accès au droit » de sédation profonde.
Forte de ses convictions concernant l’accompagnement des malades, l’association co-signe un communiqué de presse opposant la complexité de la prise en charge des personnes en fin de vie.